ⴰⵍⴻⴳⵔⴰⵊ
Alegradj - القـــــــــراج

Issaoune Madjid

.
Sous un Arbre

 

Allongé sur cette terre,

qui m'a nourri,

sous un bel olivier.

Au bord du ruisseau

dont j'attends l'eau murmurer

et qui brille de sa couleur argentée,

les tourterelles picotent

les rares olives

sous les touffes d'herbe

Allongé

sur cette terre qui m'a vu naître,

mes yeux scrutent le ciel bleu

d'un hiver printanier

la nostalgie me revient,

je prends du plaisir

à revivre ma jeunesse

pleine de bonheur et de tendresse.

Ici loin des regards qui percent

Loin du bruit

Dans cet univers infini,

je retrouve la Paix

dans mon âme

Et de mon esprit.

 

issaounem@yahoo.fr

LUMIERE

 

Le soleil s'est levé,

Sa lumière m'a réveillée,

Point d'angoisse et d’anxiété.


Celui qui m'a possédé,

De mon intérieur, je l'ai chassé,

Dans une fosse, je l'ai enterré.


Mon esprit, je l'ai retrouvé,

À une souffrance de plusieurs années,

La vie à moi, me souri.


Je goûte au bonheur de la vie,

Après une lutte de plusieurs années,

Oh, chante, mon cœur tu es libéré,


Souris maintenant,

Regarde tes enfants,

Combien ils ont grandi,


Le mal qui me rangeait est guéri,

Oublis le passé,

Qu’elle est belle la vie.

A. Issaoune

 

issaounem@yahoo 

LE CHAGRIN

 

La vielle blessure s'est réveillée

elle m'a fait vivre un mauvais souvenir ,

Ton image à moi s'est présentée

Ave ton visage au large sourire;

Ta douce voix m' supplié,

Papa cesse de souffrir,


Mon très cher Enfant,,

je n'ai pas le courage d'oublier,

Ni toi ni ton visage charmant,

Ni ta gentillesse ni ta bonté

Tu es tout le temps présent,

Dans mon cœur et dans mon esprit,


Ton souvenir quant il me revient

J’accuse tout le poids de la tristesse

Ta photo que je vois chacun matin

Me plonge dans une mollesse

Je suis terrassé par le chagrin,

L’angoisse et la tristesse,


Quant j'ouvre tes cahiers,

C’est tout mon corps qui pleure

Tes écris, quand je les parcourais

Me font briser le cœur,

A force de toi, je pensais

J’oublie le gout du bonheur,

Pour oublier mon chagrin;

Et me soulager de la misère,

Chaque Vendredi matin

Nous rendions au Cimetière

Ta mère me tenait la main

Et nous récitons des prières

Nous prions DIEU des Cieux

pour qu'il te fasse une place au paradis.

 

issaounem@yahoo

 

. Ton Papa issaoune A.Madjid

 

Le 5 juin 1974

 

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